Classification
de Christenson
Pendant
l'hiver1998, "The Phalaenopsis Newsletter", organe de
l'International Phalaenopsis Alliance, fait paraître un nouveau
classement du au botaniste Eric A. Christenson. Légérement
retouchée dans son ouvrage édité en 2001, cette
nouvelle classification se présente comme suit.
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-Sous genre Proboscidioides (équivalent
à la section Proboscidioides de Rolfe
et de Sweet)
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P. lowii |
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-Sous genre Aphyllae (équivalent
à la section Aphyllae de Sweet, incluant le genre Kingidium)
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P. braceana, hainanensis,
honghenensis, minus, stobartiana, taenialis, wilsonii |
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-Sous genre Parishianae (équivalent
à la section Parishianae de Sweet)
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P. appendiculata, gibbosa,
lobbii, parishii |
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-Sous genre Polychilos
subdivisé en |
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-Section Polychilos (équivalent
à la section Polychilos de Sweet) |
P. borneensis, cornu-cervi,
mannii, pantherina |
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-Section Fuscatae (équivalent
à la section Fuscatae de Sweet)
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P. cochlearis, fuscata,
kunstleri, viridis |
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-Section Amboinenses (équivalent
a la section Amboinenses de Sweet augmentée d'une partie
de la Section Zebrinae de Sweet constituée des sous sections
Lueddemannianae,Hirsutae et Glabrae)
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P. amboinensis, bastiani,
bellina, doweryënsis, fasciata, fimbriata, floresensis, gigantea,
hieroglyphica, javanica, lueddemanniana, luteola, maculata, mariae,
micholitzii, modesta, pallens, pulchra, reichenbachiana, robinsonii,
venosa, violacea |
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-Section Zebrinae (équivalent
de la sous section Zebrinae de Sweet)
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P. corningiana, inscriptiosinensis,
speciosa, sumatrana, tetraspis |
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-Sous-genre Phalaenopsis subdivisé
en
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-Section Phalaenopsis (équivalent
à la section Phalaenopsis de Sweet)
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P. amabilis, aphrodite,
philippinensis, sanderiana, schilleriana, stuartiana |
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-Section Deliciosae
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P. chibae, deliciosa,
mysorensis |
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-Section Esmeralda (équivalent
à la section Esmeralda de Rolfe)
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P. buyssonniana,
pulcherrima, regnieriana |
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-Section Stauroglottis (équivalent
à la section Stauroglottis de Sweet)
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P. celebensis,
equestris, lindenii |
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Pommes de discorde
(affaires à suivre.....)
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Phalaenopsis
inscriptiosinensis pourrait être un hybride (naturel ou non?)
de Phalenopsis sumatrana ce qui expliquerait sa grande versatilité.
Phalaenopsis doweryënsis se trouverait
dans le même cas,mais comme hybride de Phalaenopsis gigantea.
Dans ce cas quel est l'autre parent?
Phalaenopsis luteola,
décrit d'après une photographie, a priori de mauvaise
qualité, et d'après une peinture à l'eau du XIXième
siècle, ne ferait qu'un avec Phalaenopsis maculata.
Le distingo entre Phalaenopsis kunstleri et
fuscata n'est pas non plus de nature à calmer l'ardeur des
botanistes. |
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